Le saigneur des agneaux

Horreur parodique – Pour un vampire vivant à notre époque, la discrétion est nécessaire pour sa sécurité. Et quand on n’a pas la chance d’être un châtelain roumain, il faut bien travailler.

Mais pourquoi des tueurs en série et d’autres criminels s’obstinent-ils à perturber la vie quotidienne dans la petite ville d’Aaraux-sur-le-Baudet ?

Et pourquoi le progrès social passe-t-il par l’interdiction du travail de nuit ?

Roman d’abord diffusé en épisodes sur une liste Internet.
Ce roman est composé de cinq histoires qui se suivent.
Illustration de couverture par François Cointe

Protégé par un dépôt IDDN

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A propos de Le Saigneur des Agneaux, une histoire de vampires sociale

Cet ouvrage humoristique est l’occasion de nombreuses parodies (histoires de vampires, enquêtes policières…) et moqueries (certaines théories économiques, la vie au sein d’une rédaction d’un journal…).
Ce livre a été publié en premier lieu sous forme de feuilleton sur une liste de diffusion sur Internet de janvier 2003 à avril 2007.
En 2005, le début de cette saga (les trois premières parties) a été publié chez Publibook sous le titre Le Saigneur des Agneaux.

Genèse et intentions

« Tout a commencé par un défi : il s’agissait d’écrire une aventure de vampires sociale.
En effet, nul ne se préoccupe jamais des difficultés qu’ont les vampires ordinaires pour payer leurs loyers (tous ne sont pas des aristocrates fortunés vivant dans les Carpates), trouver une nourriture goûteuse et saine voire bio, lutter contre la discrimination anti-noctalistes ou anti-hémophages, faire face à l’apparition du Sida, gérer les problèmes de couples ou de famille à l’échelle du millénaire, etc. Il était temps que ce manque soit comblé, que justice soit aussi rendue aux gentils vampires seulement préoccupés du bonheur de leurs familles. C’est là, dans cette recherche de justice et de complétude d’un thème, qu’est la première ambition de cette saga.
Mais c’était insuffisant pour tenir un lecteur en haleine durant des pages et des pages…
J’ai donc voulu créer une histoire policière (en fait, une série d’histoires policières) aux personnages intéressants. Et en profiter, par la même occasion, pour mêler à la comédie quelques soupçons de satire sociale et, sous la satire et la moquerie, parfois quelques réflexions plus profondes.
La deuxième ambition de cette saga est donc de vous distraire par les énigmes plus ou moins policières et vous faire rire, plutôt dans la gamme du jaune que dans celle du rire gras.
Enfin, je tenais à ce que le thème du vampire soit clairement inscrit ici dans notre époque voire le proche avenir. La présente saga se déroule donc avec des vampires utilisant Internet dans une société de l’information déjà bien ancrée.
Ah, j’oubliais une chose.
Si, au fil de votre lecture, vous vous dites : « tiens, c’est curieux, ce personnage me rappelle quelqu’un » ou « tiens, c’est bizarre, c’est comme dans tel film/roman/légende/chanson… », il n’est pas impossible que votre imagination ne vous joue pas de tour.
Rechercher ou, simplement, repérer toutes les allusions et évocations diverses n’est pas forcément simple. Mais, sinon, ce ne serait pas drôle. D’autant que certaines relèvent clairement de la private joke ou, parfois, d’une culture particulière (surtout celle des geeks).
N’oublions pas qu’il n’est pas exclu, non plus, que de nombreux jeux de mots vaseux (y compris à cheval sur plusieurs langues) se dissimulent dans le texte. »

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