Starpeace

Space opera parodique – Que se passe-t-il quand un petit délinquant sans envergure devient empereur de la galaxie suite à divers incidents ? Eh bien, ça ne peut pas être pire qu’avant… Quoique…
Mais pour Schlurf, le véritable défi va être de pouvoir se la couler douce en évitant de se faire assassiner tout en assumant sa position d’empereur. Ce n’est pas gagné.

IDDN

Heureusement, sur le plan alimentaire ou sur celui de la sexualité, être empereur apporte quelques menus avantages.
Les épisodes ont été diffusés au fur et à mesure de leur écriture sur une liste Internet dédiée. Illustration couverture : Li-Bro / Fotolia.
Protégé par un dépôt IDDN

Découvrir Star Peace : foutez la paix aux étoiles !

Soutenez Pierre Béhel !

Acheter Star Peace : foutez la paix aux étoiles !

A propos de Star Peace

Ce livre a été publié en premier lieu sous forme de feuilleton sur une liste de diffusion sur Internet de novembre 2005 à décembre 2006.

Genèse et intentions

« Star Peace est né d’un défi que je me suis lancé à moi-même : créer une histoire de science-fiction dont les héros ne seraient pas humains dans un monde absolument pas humain mais où le lecteur -humain, lui, a priori- pourrait tout de même s’approprier l’univers et s’identifier aux personnages.
Mais créer des extra-terrestres qui ne soient pas humanoïdes ne suffit pas à les rendre réellement différents des humains. Pour me faciliter la tâche, j’ai eu recours à un truc déjà employé par Isaac Asimov dans Les Dieux eux-mêmes : mes extra-terrestres constituent une race où il y a trois sexes. Jouer avec ce genre d’éléments fondateurs d’une race animale terrestre permet de tout de suite distinguer les mœurs et les habitudes des extra-terrestres de celles des humains. La condition pour que ça marche est qu’il ne suffit pas de redistribuer les rôles entre homme et femme en prenant un peu de chacun pour créer un troisième mais bien de réfléchir à toutes les conséquences pratiques d’une telle redistribution, ce qui implique des comportements par le seul jeu de la sélection naturelle…
Vous remarquerez au fil du récit qu’il y a très peu de descriptions et j’ai essayé qu’aucune ne tombe à plat. J’ai en effet voulu considérer que mon lecteur était de la même race que mes personnages. Pourtant, ce n’est pas le cas (enfin, toujours a priori). Il fallait donc que mes personnages se trouvent dans des situations où décrire ce qui arrivait à leur corps soit naturel. J’espère y être parvenu.
Comme cela ne suffisait pas, j’ai ajouté des contraintes au fur et à mesure, en lien avec le titre, qui parodie bien entendu Star Wars.
Ainsi, en admettant que l’Empire ait gagné bien longtemps auparavant, que la République ne soit plus qu’un (mauvais) souvenir, comment cet Empire pourrait-il évoluer ? Et les chevaliers défenseurs du Bien ?
J’ai également voulu être, assez paradoxalement, le plus réaliste possible. Par exemple, on sait qu’il est difficile d’envisager de la vie autochtone dans certaines conditions cosmologiques. C’est pourquoi la seule vie sur Nestloch est importée.
Pour épicer le propos tout en renforçant le réalisme, j’ai été jusqu’à décrire assez en détail la sexualité des Krabels, mes extra-terrestres principaux.
Enfin, les noms propres vous paraîtront peut-être curieux. Je dois avouer que j’ai utilisé ici un système que j’ai déjà employé dans d’autres œuvres : le jeu de mot basé sur une autre langue et des traductions approximatives. »

Soutenez Pierre Béhel !

Les commentaires sont fermés.