Une dernière semaine auprès de la mer

Roman – Dans ce petit village isolé, ils viennent passer une dernière semaine auprès de la mer.

Chacun vient là pour une raison qui lui est propre. Mais tous ont, en fait, le même but.

Leur voyage s’arrête au bord de la mer, comme ils l’ont voulu.

Illustration de couverture : Pierre Béhel / Newgale (Pays de Galles).

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Une dernière semaine auprès de la mer, par Pierre Béhel – 160 pages.

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A propos de Une dernière semaine auprès de la mer

Dérivé d’une courte nouvelle présente dans le recueil Carcer et autres libérations, ce roman a été écrit au printemps 2018, en quelques mois, et publié en mai.

Genèse et intentions

« Je suis un réel militant du droit à mourir dans la dignité, du droit au suicide assisté et d’une certaine forme d’euthanasie pré-admise. La distinction suicide/euthanasie est dans la capacité de l’individu à exprimer sa volonté de mourir (explicite immédiate/pré-établie). Rien ne me fait plus horreur que l’idée que, peut-être, je pourrirai, vieux, dans un lit d’hôpital.

J’ai voulu, par ce roman, imaginer ce qu’il adviendrait si ce droit était enfin reconnu et comment cela pourrait se passer.

Les personnages ont chacun leur parcours, qui est en général assez explicite. Côté opposition, le prêtre ne comprend rien à rien jusqu’à la fin et, évidemment, ne trouvera jamais la moindre utilité.

Les personnes atteintes de maladies diverses, d’une dégénérescence liée à l’âge à des cancers, n’ont finalement guère que le choix de leur mort imminente. Leur cas est simple. Celui du tueur en série comme celui de Katarina sont plus ambigus.

Enfin, Carole, l’héroïne, est très mystérieuse dans ses motivations. Chacun peut avoir un jugement sur la situation de chaque personnage. Mais cela n’est pas possible avec Carole, précisément à cause du mystère l’entourant. L’objectif, avec ce personnage, est précisément d’insister sur le seul critère important : la volonté de la personne concernée. Ses motivations n’ont, en fait, aucune importance et ne doivent pas être jugées. »

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