Tout commence par huit milliards de morts. C’est pourquoi « Le Survivant Solitaire« , mon dernier roman, appartient au genre du Post-Apocalyptique.

Cela compense avec le précédent, « Ma nuit a été belle« , dont le cahier des charges précisait qu’il fallait 0 mort, 0 blessé, 0 personne malheureuse.

Ici, tout le monde meurt… sauf un. A lui de se débrouiller, à lui de recueillir l’héritage de millénaires d’humanité. Tant pis pour toutes les questions qu’il se pose.

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