À la poursuite de demain (Tomorrowland), de Brad Bird, avec George Clooney et Britt Robertson, adapte pour la deuxième fois une attraction des parcs Disneyland en film. Après Pirates des Caraïbes, c’est donc au tour de l’univers futuriste de Tomorrowland.

Mais, en fait, il ne s’agit que d’une dimension parallèle, un univers divergent et chaque univers peut agir sur l’autre.

Bien sûr, les héros vont vouloir sauver notre univers d’une destruction programmée. En bon film américain des studios Disney, la petite morale facile et habituelle est lourdement assénée. Eh bien oui, les rêveurs sont les bâtisseurs d’espoirs. Ceux qui, au contraire, s’abiment dans le désespoir voient leurs craintes se réaliser. Bon. Les allergiques peuvent passer leur chemin.

Mais le scénario ménage son lot de gags et de rebondissements. Pas un instant on ne s’ennuie. Et les différents personnages sont souvent magiques. Au delà d’un Clooney en papy-gourou, tous les robots sont parfaitement réussis, surtout les méchants. Globalement, le spectacle est réussi même si ce sont surtout les enfants qui y trouveront leur compte.

Enfin, il faut saluer l’hommage rendu à notre Gustave Eiffel national et à sa Tour.